France Catholique − N° 1512 — 5 décembre 1975
L’interminable agonie de Franco, artificiellement prolongée par la médecine, nous oblige, une fois de plus, à nous interroger sur le «tu ne tueras point». Sans les (on peut le dire) macabres interventions de la chirurgie coupant ici, coupant là, sondant, tubant, perfusant, et que sais-je encore? Franco serait mort paisiblement vers le 20 octobre de la mort de ses ancêtres, de ses soldats et de ses ennemis. Lire l’article